Les possibilités

Publié le par Lémos Dedys

1. Repérage précoce (enseignants et familles).

 2. Dépistage précoce  (médecins généralistes, médecins de PMI, médecins scolaires, infirmières et psychologues scolaires).

 

  3. Diagnostic   (orthophonistes, neuropsychologues, neuropédiatres, phoniatres, psychomotriciennes, psychologues, enseignants spécialisés...)

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Si un bilan orthophonique est suffisant dans le cas d'un trouble du langage léger ou moyen, un bilan pluridisciplinaire est indispensable dès qu'il s'agit d'un trouble complexe. Dans la plupart des cas, il sera pratiqué dans le cadre d'un Centre Référent hospitalier, mais il peut aussi être réalisé chez des praticiens libéraux (bilans neuropsychologiques, orthophonique, psychomoteur, psychologique, pédagogique et social).

 

4. Rééducations adaptées (orthophonie, neuropsychologie, psychomotricité, ergothérapie, orthoptie...)

 

5. Soutien psychologique, en cas de besoin.

 

6. Intégration scolaire (Projet d'Accueil Individualisé, Projet Personnalisé de scolarisation) ou structure spécialisés, dans les cas très sévères. Disposition spéciales pour les examens.

 7. Aides techniques (dictée à l'ordinateur,reconnaissance vocale, correcteur...)

 

8. Formation de l’entourage   qui à un rôle essentiel à jouer, complémentaire de celui des professionnels.

 9. Demande d'Allocation d'Education Spéciale ou d'Auxiliaire de Vie Scolaire dans les cas sévères (s’effectue auprès de la  MDPH).

Malgré les récentes circulaires, ces possibilités restent souvent difficiles à mettre en œuvre : manque de moyens financiers et humains, délais d'attente dans les hôpitaux, formation insuffisantes de certains professionnels, non remboursement de certains actes, méconnaissance des troubles.

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